Une statue de 12 mètres de haut qui disparaît, un artiste désabusé et une mystérieuse base sous-marine. Voici les ingrédients de la folle histoire de Gulliver.
Jeudi 19 à 17 h, école Charles Martin,en présence de Michel Lecoeur, vernissage de l’exposition d’affiches des classes des écoles de Bacalan qui ont travaillé sur le thème « Où est passé Gulliver ? »
Vous êtes invités !
VM Directeur d’école
Je m’interroge sur ce sujet. Quel est l’élément central de la vidéo ? Quelle en est la star ? Ni Lecoeur, ni Gulliver, ni la mairie, mais plutôt vous les journalistes. Pourquoi ces plans ou vous vous mettez en scène, vous montrant sans arrêt? Leur gratuité me laisse dubitatif. Ou comment se regarder le nombril et parler de soi, plaçant de petites blagues, en occultant l’essentiel… Pourquoi ne pas mettre cette sorte d’omniscience impérialiste de côté, s’effacer devant la nature du sujet et le propos tenu afin de laisser l’alchimie se créer avec le lecteur. Il y a là me semble-t-il un vrai souci de distance, (ou d’égo!). Pourquoi toujours cette barrière psychologique, ces journalistes qui ne peuvent s’empêcher de ramener leur fraise pour nous dire ce qu’il faudrait voir, ou penser ? Laissez nous notre souveraineté intellectuelle…
novembre 17th, 2009 at 21:22
j’aime
novembre 17th, 2009 at 21:28
Du bon boulot… Et bel hommage à l’ORTF au début !
novembre 17th, 2009 at 22:58
Jeudi 19 à 17 h, école Charles Martin,en présence de Michel Lecoeur, vernissage de l’exposition d’affiches des classes des écoles de Bacalan qui ont travaillé sur le thème « Où est passé Gulliver ? »
Vous êtes invités !
VM Directeur d’école
novembre 18th, 2009 at 12:03
D’enfer.
Vas savoir pourquoi, ça m’a fait penser à ça.
http://tinyurl.com/yhuwtdz
novembre 18th, 2009 at 12:20
Je m’interroge sur ce sujet. Quel est l’élément central de la vidéo ? Quelle en est la star ? Ni Lecoeur, ni Gulliver, ni la mairie, mais plutôt vous les journalistes. Pourquoi ces plans ou vous vous mettez en scène, vous montrant sans arrêt? Leur gratuité me laisse dubitatif. Ou comment se regarder le nombril et parler de soi, plaçant de petites blagues, en occultant l’essentiel… Pourquoi ne pas mettre cette sorte d’omniscience impérialiste de côté, s’effacer devant la nature du sujet et le propos tenu afin de laisser l’alchimie se créer avec le lecteur. Il y a là me semble-t-il un vrai souci de distance, (ou d’égo!). Pourquoi toujours cette barrière psychologique, ces journalistes qui ne peuvent s’empêcher de ramener leur fraise pour nous dire ce qu’il faudrait voir, ou penser ? Laissez nous notre souveraineté intellectuelle…